Je laissai mon attaque filer dans le vide. Faro qui l'avait esquivé se retrouva derrière moi et dit:
''je m'appelle kiji d faro pirate a 14 million de berry j'ai 2 sabre un blanc et un meitou. Je suis un puissant manieur de sabre et je peux esquiver une attaque avec mes saut trés haut comm tu peux le voir ton cokctail était trés bon je l'avoue donc je dirai que le jus d'orange du marché d'a coté est un peu meilleur ."
Je me retournai, un sourire ironique aux lèvres:
"J'espère alors que tous les pirates sont comme toi, ainsi mes grades arriveront plus vite."
Je ne m'étais pas présenté, peut être parce que je n'en voyais pas la peine.
lui:''bon passons au choses sérieuse"
J'étais prête. Je tenais toujours mes sabres, mais j'attendais de voir ce qu'il allait faire avant de préparer un attaque. J'avais bien fait! Des lames blanches apparurent sur le corps de Faro, il sauta et s'élança vers moi. Je devinais que c'était son fruit du démon. Mais qu'était-ce?
Je ne bougeai qu'au dernier moment. Je sautai en l'air au moment ou mon adversaire était sur moi. Si faro continuait sur sa trajectoire, il foncerai dans le sol (désolé belle térrasse
) moi, je m'élançai en hauteur mais aussi en longueur car ne connaissant pas le fruit de cet homme, je laissait supposer que les trucs blancs pouvaient s'allonger. J'atteris alors sur un des toits qui entouraient la terrasse.
faro dit aprés l'attaque :
"hun la danse du mélèze et utilisé normalent pour stopper une attaque mais un adversaire de ton genre devrait aprécier cette technique
j'ai mangé le fruit bone-bone au cas ou tu saurais pas si je perd un sabre je m'en repousse un si tu essaie de me trancher un cartillage d'os se fera et stopera l'attaque"
Mais quel sorte d'être était-il pour dévoiler ses capacités?
Je décidai de jouer avec lui:
"Génial! il se trouve que ma soeur et prof d'anatomie et c'est bientôt son anniversaire. Tu ferai très bien dans son bureau."
J'entendis alors des bruits dans le couloir de MON palais. L'attaque de Faro avait fait un certains bruit et avait alerter MES gardes. Ils arrivèrent en trombe sur la terrasse. Les choses se compliquaient, je ne pouvais combattre tout en les protejant (ils étaient 11). Je leur dit alors de rester dans le palais et de n'intervenir que si j'étais en danger mortel.