Le climat de l’arène changea pour revenir à son état initiale. Incroyable, comme si il ne s’était rien passé. Seul témoin des derniers évènements, le vice amiral Shinjitsu qui gisait sur le sol avec plusieurs flèches dans le corps. Son épée carbonisé pas très loin de lui. La vu de l’adversaire de Boa Hancock à terre, déclencha le hurlement des foules dans les gradins de l’arène. Les amazones criaient à l’unissions le nom de leur hebihime sama, et huait le pauvre Shinjitsu. L’impératrice leva un bras pour réclamer le silence qui s’imposa aussitôt, puis couvrit la distance qui la séparait du marine. Il était dans un sale état le pauvre, la princesse serpent sans aucune état d’âme ou réticence, arracha les flèches qui avaient criblé le corps de l’homme. Déjà sa limiterait les risques de mort, mais pas ceux d’hémorragie, pour cela sa attendrait. La jeune femme rendit également leur état initiale au parties du corps pétrifiés du jeune homme, toujours conscient même si son état était assez critique.
Boa Hancock prit son menton entre ces deux doigts affichant son regard le plus tendre:
-Bravo tu t’es bien battue, mais ce n’est pas aujourd’hui que tu battras un corsaire doublée d’une impératrice.
L’image était saisissante, la plus belle femme tenant dans ces bras le pauvre vice amiral au cheveux blonds, grièvement blessé. Il y avait une légère brise, on avait l’impression que flottait des pétales de cerisier le long des cheveux de Hancock. Dans les gradins les amazones hurlaient des étoiles dans les yeux.
-Hebihime sama ! Vous êtes d’une grande bonté ! Si généreuse ! Si…
Le regard de Boa Hancock changea pour se faire plus dur tout comme sa voix:
-Bonne nuit !
Se relevant d’un seul coup, l’impératrice avait mit un coup de poing chargé de haki dans le crâne du marine pour lui porter le coup de grâce. Une impératrice doit se montrer ferme !
-Bravo hebihime sama !
Sur l’ordre de la reine des amazones, deux jeunes filles conduisirent le pauvre marine inconscient à l’infirmerie qui attenait à l’arène. Ce n’est pas encore maintenant que Boa Hancock s’y aventurera jamais.